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Zootrophion Luer, 1982 (Zo.)
Etymologie :
Du Grec zōŏphŏrus (zōphŏrus) ζῳοφόρος :
qui porte des animaux, orné d'animaux.
Faisant surement référence à la similitude des fleursqui porte des animaux, orné d'animaux.
avec des têtes d'animaux.
Non accepté.
Etymologie :
Trente deux espèces épiphytes acceptées d'Amérique Centrale
et du Sud ainsi que de la Jamaïque.
Synonyme : Cryptophoranthus, Epibator.
Répartition géographique
du genre.
- Taxonomie et tableau phylogénétique
- Zootrophion alvaroi
- Zootrophion griffin
et du Sud ainsi que de la Jamaïque.
Synonyme : Cryptophoranthus, Epibator.
Répartition géographique
du genre.
- Taxonomie et tableau phylogénétique
- Zootrophion alvaroi
- Zootrophion griffin
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Epibator Luer, 2004 (Ebt.)
Etymologie :
Du Grec épi - 𝓔πι- préf. – v. ÉP1. : sur, au dessus
et
bate, βατός, ή, όν : où l’on peut aller, accessible,
celui qui marche.
En référence du fait de l'épiphytisme et rhizome traçant
du genre.
En imageant et poétisant la chose,
"Genre qui marche sur, ou dessus".
3 espèces épiphytes d'Équateur.
Synonyme de Zootrophion pour certains.
Répartition géographique
du genre.
- Taxonomie et tableau phylogénétique
- Epibator hirtzii
- Epibator ximenae
Etymologie :
à la tête d'un petit serpent.
3 espèces épiphytes d'Équateur.
Synonyme de Zootrophion pour certains.
Répartition géographique
du genre.
- Taxonomie et tableau phylogénétique
- Epibator hirtzii
- Epibator ximenae
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Ophidion Luer, 1982 (Odn.)
Etymologie :
Du grec, óphídion - όφίδιον : petit serpent.
Diminutif de óphis - ὄφις : serpent,
avec le suffixe -ien, ion.
En référence à l'aspect de la fleur ressemblantà la tête d'un petit serpent.
Quinze espèces épiphytes acceptées voir seize pour certains
réparties dans les Andes Colombienne,
Équatorienne, Péruvienne et Bolivienne ainsi qu'au Venezuela
Équatorienne, Péruvienne et Bolivienne ainsi qu'au Venezuela
et Panama.
Synonyme : Cryptophoranthus, Phloeophila.
Pour Phloeophila, voir taxonomie.
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Différences entre :
Epibator , Zootrophion et (?Ophidion)
= Mode de croissance ;
- rhizome traçant chez Epibator,
- rhizome compact (cespiteux) chez Zootrophion.
et Ophidion,
mais pouvant tout de même être semi-traçant comme
c'est le cas pour Zo. griffin.
Jeune plant d'Epibator,
au rhizome traçant.
Jeune plant de
Zootrophion au
rhizome cespiteux.
= Fleur :
Jeune plant d'Epibator,
au rhizome traçant.
Jeune plant de
Zootrophion au
rhizome cespiteux.
= Fleur :
- connée uniquement à l'apex,
et non à la base chez Epibator et Ophidion,
- connée à l'apex et à la base chez Zootrophion.
- sépales soudés formant un sinsépale de forme concave,
bombé vers l'extérieur pour Epibator et Ophidion .
- sépales soudés formant un synsépale convexe,
bombé vers l'intérieur,
voir relativement plat pour Zootrophion.
- connée à l'apex et à la base chez Zootrophion.
- sépales soudés formant un sinsépale de forme concave,
bombé vers l'extérieur pour Epibator et Ophidion .
- sépales soudés formant un synsépale convexe,
bombé vers l'intérieur,
voir relativement plat pour Zootrophion.
Malgré la fusion apicale caractéristique des sépales dorsaux
et latéraux commune aux trois genres ;
Ophidion se distingue facilement de Zootrophion et Epibator
par une hampe florale bien plus allongée,
mais et surtout ;
par un labelle de type Restrepia proportionnellement plus grand
que chez Epibator et Zootrophion.
Fleur d'Ophidion dasyglossum.
Nous voyons bien le labelle type
Restrepia de grande taille.
Epibator ximenae.
Fleur de Zo. griffin.
= Hampe florale :
dont la hampe florale se développe de l'anulus,
(sans être un fait de classification).
Hampe d'Epibator ximenae.
Hampe de Zootrophion griffin.
Hampe de Zootrophion niveum
Hampe d'Epibator ximenae.
Hampe de Zootrophion griffin.
Hampe de Zootrophion niveum
Hampe d' Ophidion alphonsianum
au développement bien plus long
que chez Epibator et Zootrophion.
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