En raison de la taille et des besoins spécifiques au genre,
la culture des Lepanthes diffère quelque peux d'une
culture générale de Pleurothallidinae du à leur biotope
généralement brumeux et très humide.
Néanmoins,
⚠☞ La tendance serait de sur-arroser,
⚠☞ Les informations ci-dessous ne doivent être utilisées
qu'à titre indicatif et doivent être adaptées à vos besoins
et votre site de culture.
Ces informations correspondent à un besoin général du genre ;
sans tenir compte de besoins spécifiques de l'une ou l'autre espèce
et son propres à mon site de culture.
Ce qui fonctionne chez moi, fonctionne chez moi.
ARROSAGE :
Eau non calcaire.
Si les espèces de ce genre sont assez sensibles
aux excès d'eau ;
elles ne supportent pas les coups de sec sous peine
de voir les feuilles se dessécher très vite.
Pour cette raison,
Pour cette raison,
il est très important de maintenir le milieu de culture
toujours humide.
J'insiste lourdement sur le fait que le milieu de culture
doit toujours resté humide ;
toujours humide.
J'insiste lourdement sur le fait que le milieu de culture
doit toujours resté humide ;
de surcroît, si la culture se fait sur plaque.
Chez moi,
Les Lepanthes sont cultivés sur plaque et arrosés
par vaporisation le matin,
Chez moi,
Les Lepanthes sont cultivés sur plaque et arrosés
par vaporisation le matin,
en fonction des besoins.
La plupart des espèces du genre ont un système racinaire très fin,de ce fait ;
ils apprécient un arrosage régulier mais chose importante,
afin de ne jamais laisser sécher les racines.
⚠☞ La tendance serait de sur-arroser,
par conséquent ;
il faut gérer au mieux les apports d'eau en tenant compte
également de l'espèces,
car certaines d'entre elles demandent un bon ressuyage
du milieu de culture entre les arrosages.
Comme pour la culture en générale,
Il est difficile de quantifier les apports et la cadence
des apports d'eaux,
car ceux-ci dépendent de plusieurs paramètres propres
au site de culture et à l'espèce.
HYGROMÉTRIE :
Le taux d'hygrométrie relatif est primordial ;
il est très important de le maintenir dans une fourchette
comprise entre 80 à 90 %.
Ce pourcentage peut être supérieur à 90,
mais en aucun cas inférieur à...
...aller, " je dirais 75 % ".
Le taux d'hygrométrie relatif est primordial ;
il est très important de le maintenir dans une fourchette
comprise entre 80 à 90 %.
Ce pourcentage peut être supérieur à 90,
mais en aucun cas inférieur à...
...aller, " je dirais 75 % ".
Il faut savoir qu'une hygrométrie trop basse favorise
la défoliation.
HYGROMÉTRIE et ARROSAGE FORTEMENT LIÉS :
Afin de diminuer les risques de sur-arrosage,
il est préférable de bien gérer l'hygrométrie ;
cela n'enlève en rien le fait de devoir effectuer des arrosages,
mais un taux d'hygrométrie relatif important vous permettra
de diminuer la fréquence et quantité d'irrigation ;
par conséquent,
de diminuer les risques de sur arrosages.
VENTILATION :
Celle ci est d'une grande importance pour le bien être
Celle ci est d'une grande importance pour le bien être
des Lepanthes (comme pour tous les Pleurothallidinae).
Cependant,
sous peine de voir les feuilles se desséchées ;
elle ne doit pas être trop forte en intensité ou de placer
la ou les plantes trop près de la source ce qui reviendrait
à une ventilation trop forte, trop importante.
La ventilation est un élément important au même titreque l'hygrométrie et les apports d'eau,
sont dosage doit être en adéquation avec les espèces ;
surtout pour les espèces de très petite taille.
LUMIÈRE :
Comme chez tous les genres de la sous-tribu des Pleurothallidinae,
il y a toujours des exceptions ;
des espèces qui sortent du lot, aux besoins spécifiques.
Si la moyenne en besoin de lumière se trouve être
entre 10000 et 15000 lux,
il n'en va pas de même pour exemple de Lths. calodictyon
qui demande une intensité lumineuse plus importante comprise
entre 15000 et 20000 lux.
J'aurai même tendance à dire que les Lepanthes à feuillage
tesselé sont plus demandeur en lumière.
Aussi ;
et suivant les espèces,
je donnerais une fourchette moyenne du besoin en intensité
lumineuse comprise entre 10000 et 20000 lux.
Cependant,
le genre doit être protégé d'une exposition direct au soleil.
Le photopériodisme recommandé est de 12/12.
TEMPÉRATURE DE CULTURE :
La température de culture est considérée en règle générale
comme fraîche, mais elle doit être en accord avec l'espèce.
Chaude........................jour : 20°C à 27°C nuit : 11°C à 18°C.
Tempérée chaude.............jour 18°C à 25°C nuit : 10°C à 15°C.
Tempérée (intermédiaire)...jour : 12°C à 20°C nuit : 8°C à 13°C.
Tempérée froide..............jour : 12°C à 18°C nuit : 8°C à 11°C.
Froide.......................... jour : 10°C à 16°C nuit : 5°C à 12°C.
FÈRTILISATION :
Tout au long de l'année
Les apports ne devraient pas êtres de plus de 100 ppm
(environ 2ml/L) en moyenne pour un engrais
type 20/20/20 une fois par mois.
(environ 2ml/L) en moyenne pour un engrais
type 20/20/20 une fois par mois.
Il est préférable de sous-fertiliser plutôt que trop.
Certains font un apport à chaque arrosage en diluant
au double d'eau,
soit 50 ppm voir moins (environ 1ml/L) ,
ceci trois fois de suite puis arrosent à l'eau claire
au quatrième et voir même au cinquième arrosage
pour reprendre trois arrosage avec fertilisant
trois fois de suite, etc...etc...
Certains font un apport à chaque arrosage en diluant
au double d'eau,
soit 50 ppm voir moins (environ 1ml/L) ,
ceci trois fois de suite puis arrosent à l'eau claire
au quatrième et voir même au cinquième arrosage
pour reprendre trois arrosage avec fertilisant
trois fois de suite, etc...etc...
Avant de fertiliser,
il est nécessaire d' arroser à l'eau claire pour éviter
une brûlure des racines.
Autre exemple :
100 ppm maximum une fois par mois
soit 156 µS environ,
ou ;
50 ppm soit 78 µS environ à chaque arrosage
soit 156 µS environ,
ou ;
50 ppm soit 78 µS environ à chaque arrosage
trois fois de suite,
puis rinçage au quatrième et cinquième arrosage.
(1 ppm = 1.56 µS moyenne).
TYPE de CULTURE :
Culture possible en pot ou montée sur plaque suivant
la taille de l'espèce.
Cependant, la culture en pot présente le risque de faire pourrir
les racines si le milieu de culture est trop dense ou trop humide.
MILIEU de CULTURE :
- En pot
Préférez les pots en terre d'un diamètre en rapport à la taille de l'espèce,
n'oublions pas que le genre préfère être à l'étroit.
Le milieu de culture sera composé de ;
Sphaigne, perlite dans la proportion 60%/40% ou 50/50%.
ou bien
Sphaigne, perlite et charbon de bois dans la proportion de
60%/ 30%/10%.
Toujours granulométrie fine (mélange de qualité pour semis).
Il est évident que le milieu de culture doit être en équation
avec votre site et technique de culture.
La chose la plus importante étant la rétention d'humidité,donc ;
un bon drainage de sorte que l'air circule autour des racines.
- Montée sur plaque
Que de la mousse rase fixée sur la plaque avec une fine couche
de sphaigne vivante autour des racines sans en faire une boule
compact.
✋⇨ Pour le montage sur plaque,
je déconseille l'utilisation de fanjan même si cela
fonctionne bien.
L'espèce est si petite,
et par conséquent les racines si fines,
qu'il vous serait impossible voir très difficile
de changer le support au besoin sans endommager
la plante.
✋⇨ Technique personnelle :
Avant l'acquisition de l'espèce,
vous pouvez mettre en culture sur du liège,
une plaque de mousse rase ou ensemencer cette
dernière au moins trois mois avant d'y fixer le Lepanthes.
Le bute de cette technique est de recréer au plus près
ou au mieux le biotope de l'espèce.
fonctionne bien.
L'espèce est si petite,
et par conséquent les racines si fines,
qu'il vous serait impossible voir très difficile
de changer le support au besoin sans endommager
la plante.
✋⇨ Technique personnelle :
Avant l'acquisition de l'espèce,
vous pouvez mettre en culture sur du liège,
une plaque de mousse rase ou ensemencer cette
dernière au moins trois mois avant d'y fixer le Lepanthes.
Le bute de cette technique est de recréer au plus près
ou au mieux le biotope de l'espèce.
✋⇨ En fait,
le secret du bien être des Lepanthes réside essentiellement sur
la maîtrise de deux facteurs qui pour moi sont capitales ;
le rapport hygrométrie/arrosage.
En maintenant une forte hygrométrie ;
le rythme des apports d'eau s'espace,
ce qui permet au milieu de culture de ne jamais être saturé,
mais de garder une réserve utile acceptable sans causée
des dommages aux racines.
Pour mieux comprendre, voir réserve utile.