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| Masd. persicina. |
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| Gros plan sur le labelle ; le gynostème et les pétales. |
Plus de détails : Masd. persicina
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FICHE : Lindleyalis nuda, Lindleyalis hemirhoda
Une fois de plus, et ce ne sera pas la dernière ;
la détermination de l'espèce n'est pas claire.
Lindleyalis nuda et Lindleyalis hemirhoda ne seraient
qu'une seule et même espèce pour certains ;
et deux espèces bien distinctes pour d'autres.
pour ma part, mais n'étant pas botaniste ;
il s'agit de deux espèces bien distinctes.
J'ai donc édité cette fiche de culture commune aux
deux espèces de même culture ainsi que de leur
aires de répartition identiques.
De plus,
Le genre Lindleyalis n'est pas accepté par certains,
restant synonyme de Pleurothallis.
Ldy. nuda (Klotzsch), Luer & thoerle, 2014
⚠✋ Genre et/ou espèce non accepté,
Ldy. nuda (Klotzsch), Luer & thoerle, 2014
⚠✋ Genre et/ou espèce non accepté,
accepter en tant que :
Pleurothallis nuda (klotzsch) Rchb. f., 1861
et
Lyas. hemirhoda (Lindl. & paxton) Luer, 2004
⚠✋ Genre et/ou espèce non accepté,
accepter en tant que :
Lyas. nuda (Klotzsch), Luer & thoerle, 2014
⚠✋ Genre et/ou espèce non accepté,
accepter en tant que :
Pleurothallis nuda (klotzsch) Rchb. f., 1861.
Synonyme :- Dubois-reymondia hemirhoda (Lindl.& Paxton)
Brieger, 1977
- Humboldtia hemirhoda (Lindl.& Paxton) Kuntze,
- Humboldtia hemirhoda (Lindl.& Paxton) Kuntze,
1891
- ? Pleurothallis hemirhoda (Lindl. & paxton), 1852
- Restrepia biflora Regel, 1856
- Restrepia nuda Klotzsch, 1852
- Restrepia vittata Lindl., 1848
- Restrepia vittata var. biflora Regel, 1856
Taxinomie
Tribu : Epidendreae
Sous-tribu : Pleurothallidinae
Genre : Lindleyalis ↔ Pleurothallis
Sous-genre :.....................Restrepioidia
Section : Restrepioidia
Sous-section :
Division :
Espèce : nuda (hemirhoda ?)
Étymologie :
- nuda
Du latin, nūdo, āre, āvi, ātum : déshabiller,
(au figuré) dépouiller, priver de quelque chose.
En référence sûrement,
- ? Pleurothallis hemirhoda (Lindl. & paxton), 1852
- Restrepia biflora Regel, 1856
- Restrepia nuda Klotzsch, 1852
- Restrepia vittata Lindl., 1848
- Restrepia vittata var. biflora Regel, 1856
Tribu : Epidendreae
Sous-tribu : Pleurothallidinae
Genre : Lindleyalis ↔ Pleurothallis
Sous-genre :.....................Restrepioidia
Section : Restrepioidia
Sous-section :
Division :
Espèce : nuda (hemirhoda ?)
Étymologie :- nuda
Du latin, nūdo, āre, āvi, ātum : déshabiller,
(au figuré) dépouiller, priver de quelque chose.
En référence sûrement,
à la fleur qui parait simple, dépouillée,
voir dépouillée de stries rose-rouge.
voir dépouillée de stries rose-rouge.
Étymologie :
- hemirhoda
Mode de vie :
Plante épiphyte.
Végétation :
Sympodiale.
Rhizome au développement en touffe (cespiteux).
Habitat :
Dans les forêts humides.
Origine :
Altitude :
Température de culture :
De culture froide
Milieu de culture :
Que de la sphaigne.
Arrosage :
Maintenir toujours humide mais sans excès.
Hygrométrie :
De 65 à 85%.
Ventilation :
Fertilisation :
Luminosité :
Ombrée.
Difficulté culturale :
Particularités :
🜂☞ Fleur variable,
sépale dorsal et synsépale blanc.
Pétale blanc strié pourpre.
Labelle orangé plus ou moins strié pourpre.
🜂☞ Peut être confondu avec Lindleyalis hemirhoda.
La différence entre les deux espèces se trouve
au niveau de la colonne ornée de deux appendices
(un de chaque coté) qui chez Lyas. nuda sont
plus grands, plus développés que chez Lyas. hemirhoda.
Lyas. nuda.
Lyas. hemirhoda.
pour certains spécialistes des Pleurothallidinae ;
Lyas. hemirhoda et Lyas. nuda ne seraient qu'une seule espèce ;
Lyas. nuda tel que nous le connaissons serait la variété alba
Du grec hemi : moitié
et de,
rhŏdĭnus, a, um : de rose.
À moitié rose-rouge,
se référant à la couleur de la fleur.
se référant à la couleur de la fleur.
Mode de vie :Plante épiphyte.
Végétation :
Sympodiale.
Rhizome au développement en touffe (cespiteux).
Habitat :
Dans les forêts humides.
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| Échelle graduée en 2 millimètres. |
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| Lindleyalis hemirhoda ?. |
Origine :Colombie, Bolivie,
Équateur, Pérou,
Venezuela.
Altitude :De 110 à 2100 mètres.
Colombie : ?
Bolivie : ?
Équateur :
De 110 à 2100 mètres.
Pérou :
1100 à 1500 mètres.
Venezuela :
1000 mètres.
Culture
Température de culture :De culture froide
à tempérée chaude suivant l'origine.
Chaude...................jour : 20°C à 27°C nuit : 11°C à 18°C.
⇨ Tempérée chaude........jour 18° C à 25°C nuit : 10°C à 15°C.
⇨ Tempérée.................jour : 12°C à 20°C nuit : 8°C à 13°C.
⇨ Tempérée froide.........jour : 12°C à 18°C nuit : 8°C à 11°C.
⇨ Froide.................... jour : 10°C à 16°C nuit : 5°C à 12°C.
Type de culture :
En pot plastique ajouré, pot de terre ou
monté sur plaque.
Chaude...................jour : 20°C à 27°C nuit : 11°C à 18°C.
⇨ Tempérée chaude........jour 18° C à 25°C nuit : 10°C à 15°C.
⇨ Tempérée.................jour : 12°C à 20°C nuit : 8°C à 13°C.
⇨ Tempérée froide.........jour : 12°C à 18°C nuit : 8°C à 11°C.
⇨ Froide.................... jour : 10°C à 16°C nuit : 5°C à 12°C.
Type de culture :En pot plastique ajouré, pot de terre ou
monté sur plaque.
Milieu de culture :
= Culture en pot granulométrie moyenne.
- - 4 parts d'écorce de pin.
- - 2 à 3 parts de charbon de bois.
- - 1 part de perlite ou bille de polystyrène ou vermiculite.
- - 1 part de sphaigne de Nouvelle Zélande coupé
mais surtout pas en poudre.
Que de la sphaigne.
Arrosage :Maintenir toujours humide mais sans excès.
Hygrométrie :De 65 à 85%.
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Fertilisation :100 ppm maximum une fois par mois
soit 156 µS environ ;
ou
soit 156 µS environ ;
ou
50 ppm soit 78 µS environ à chaque arrosage
trois fois de suite,
puis rinçage au quatrième et cinquième arrosage.
(1ppm = 1.56 µS moyenne).
Luminosité :Ombrée.
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Repos ( voir légende ) :
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Difficulté culturale :
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Particularités :
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🜂☞ Fleur variable,
sépale dorsal et synsépale blanc.
Pétale blanc strié pourpre.
Labelle orangé plus ou moins strié pourpre.
🜂☞ Peut être confondu avec Lindleyalis hemirhoda.
La différence entre les deux espèces se trouve
au niveau de la colonne ornée de deux appendices
(un de chaque coté) qui chez Lyas. nuda sont
plus grands, plus développés que chez Lyas. hemirhoda.
Lyas. nuda.
Lyas. hemirhoda.
Cependant,
Lyas. hemirhoda et Lyas. nuda ne seraient qu'une seule espèce ;
Lyas. nuda tel que nous le connaissons serait la variété alba
de Lyas. nuda nommé hemirhoda.
✋⇨ L'induction florale se fait par l'écart des températures
jour/nuit.
✋⇨ L'induction florale se fait par l'écart des températures
jour/nuit.
Ajourer des pots plastique.
D
D
D
D
Bien souvent,
on me demande où je trouve les pots plastique ajourés pour mes Masdevallia
ou tout autres orchidées ayant besoin de pots ajourés.
De plus,
il est parfois difficile ou onéreux de trouver des paniers
pour Dracula par exemple alors que nous avons une multitude
de pots plastique de toutes les tailles et diamètres.
Pour rester dans l'air de la récupération ou du recyclage et d'avoir
toujours à ma disposition des paniers ou pots ajourés,
il y a un système simple et pas cher ;
les faire soi même.
Pour ce faire, il vous faut :
- Un pistolet à colle sans baton de colle juste chauffé au maximum
- Des pots plastique transparents ou non et de n'importe
quel matière plastique.
Comment faire :
Une fois le pistolet bien chaud,
il vous suffit de placer l'embout du pistolet à l'endroit du pot
où vous voulez faire un trou et d'appuyer doucement en tournant
le poignet de gauche à droite.
Le diamètre de l'embout du pistolet vous donnera le diamètre du trou.
Une fois le diamètre obtenu,
il faut retirer l'embout toujours en faisant un va et vient
de gauche à droite et d' enlever la bavure de plastique
fondue tant que c'est chaud,
sinon la bavure se recolle sur le pot
(attention aux doigts, c'est très chaud).
Il est même possible d'aérer plus ou moins le milieu de culture
suivant le besoin des plantes en augmentant ou diminuant
le nombre de trous dans le pot et de transformer le pot en panier
en augmentant les trous et en les plaçant très serrés les uns des autres.
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D
Bien souvent,
on me demande où je trouve les pots plastique ajourés pour mes Masdevallia
ou tout autres orchidées ayant besoin de pots ajourés.
De plus,
il est parfois difficile ou onéreux de trouver des paniers
pour Dracula par exemple alors que nous avons une multitude
de pots plastique de toutes les tailles et diamètres.
Pour rester dans l'air de la récupération ou du recyclage et d'avoir
toujours à ma disposition des paniers ou pots ajourés,
il y a un système simple et pas cher ;
les faire soi même.
Pour ce faire, il vous faut :
- Un pistolet à colle sans baton de colle juste chauffé au maximum
- Des pots plastique transparents ou non et de n'importe
quel matière plastique.
Comment faire :
Une fois le pistolet bien chaud,
il vous suffit de placer l'embout du pistolet à l'endroit du pot
où vous voulez faire un trou et d'appuyer doucement en tournant
le poignet de gauche à droite.
Le diamètre de l'embout du pistolet vous donnera le diamètre du trou.
Une fois le diamètre obtenu,
il faut retirer l'embout toujours en faisant un va et vient
de gauche à droite et d' enlever la bavure de plastique
fondue tant que c'est chaud,
sinon la bavure se recolle sur le pot
(attention aux doigts, c'est très chaud).
Et voilà, le tour est joué.
Il est même possible d'aérer plus ou moins le milieu de culture
suivant le besoin des plantes en augmentant ou diminuant
le nombre de trous dans le pot et de transformer le pot en panier
en augmentant les trous et en les plaçant très serrés les uns des autres.
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